"Nous sommes en outre ce qu'ils ne sont pas: des révoltés de toutes les heures, des hommes vraiment sans dieu, sans maître, sans patrie, les ennemis irréconciliables de tout despotisme, moral ou matériel, individuel ou collectif, c'est-à-dire des lois et des dictatures (y compris celle du prolétariat) et les amants passionnés de la culture de soi-même".

(Fernand PELLOUTIER - Lettre aux Anarchistes – 1899) => lire la «Lettre aux anarchistes»

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«Comment fut élaborée la Charte d'Amiens»

- reproduction intégrale de la discussion du quinzième Congrès national corporatif –

- neuvième Congrès de la C.G.T. - Amiens, du 8 au 16 octobre 1906 -


    «L'Anarcho-syndicaliste»: L’édition n°219mai-juin-juillet



Dans cette édition:

p.1: Éditorial – Marc HÉBERT.

p.2-3: Bas les masques bonneteurs! - Christine.

p.4-5: A qui profite le crime? …

par le père LABOULE.

p.6-7-8: Voila ce qu'est l'état d'urgence! ...

... Frédéric VUILLAUME.

p.8: L'Anarcho-Syndicaliste soutient Jean JAYER.

p.9-10: Petite histoire du syndicalisme étasunien...

... Laurence STRIBY.

p.11-12: Des abonnés nous écrivent...

... Michel et Claire.

p.13: Hasta la victoria, siempre (En hommage à notre ami Serge GENTILI).

p.14: Alexandre HÉBERT, un homme de conviction, un anarchiste individualiste.



CIRCULAIRES, Y’A RIEN A VOIR!

«LE SOLEIL SE LÈVE A L’EST!»

OBJECTIF LUNE? TINTIN!!!



Voilà un récapitulatif des circulaires de la confédération FO, adressées aux camarades dans les syndicats. Édifiant!

Nous constatons, depuis le départ de Pavageau, que la résolution confédérale du dernier Congrès est passée aux oubliettes. La Confédération a aggravé la politique de collaboration mise en place depuis Mailly. Toutes les circulaires confédérales le démontrent.

La Confédération adopte le langage du pouvoir économique et politique. Elle fait «sienne» ses analyses et abandonne toute notion de lutte de classe. Ainsi soumise au langage «managérial», elle intègre l’inéluctabilité de la suppression des libertés, donc les libertés syndicales.

Pour mémoire, rappelons le refus de donner la parole à Frédéric Vuillaume, mandaté par le Syndicat des agents du Conseil régional BourgogneFranche-Comté, lors du Congrès de Lille. Ce refus illustre bien le mépris de la hiérarchie syndicale envers le syndicat de base combatif, au profit d’un appareil syndical collaboratif.

Les dernières circulaires confédérales démontrent l’impuissance de la confédération et sa servilité au pouvoir politique et économique: aucune mobilisation, aucune revendication contre la perte de liberté et les violences policières, celles de l’État policier qui les commande. Mais «analyse, réflexion, position».

FO est devenu un conseiller du gouvernement: les propos tenus dans la circulaire confédérale numéro 157-, «Courrier à Madame Pénicaud», illustrent la perte d’indépendance et de liberté  dans le cadre des préventions des difficultés à venir. De même FO se limite à regretter: «la précipitation qui a marqué l’examen ce 8 juin au Parlement des projets de lois organique et ordinaire relatifs à la dette ''Covid''»...

La remise au pas des dernières UD libres et indépendantes s’inscrit dans ce cadre.

Et FO file le train à la CGT, dans l’«Intersyndicale» pour organiser le «théâtre de rue» de bon aloi.

Marc HÉBERT,

28 juin .